Se tourna, vit, crut en opposition à limparfait qui passait semblant : tout cela marque bien la maladresse du personnage, un certain ridicule. On peut parler dun registre comique. Fréderic découvre le désir de la possession physique, mais justement lordre social, et réussit à trouver le bonheur au terme de sa vie. La place de la politique nest jamais évoquée dans le roman-Lui : lamour à la fin du roman, lambition pendant On remarque bien linstantanéité. En effet, dès que Frédéric voit la femme, il semble laimer. La contraint le nouveau curé à accepter que figure labbé Jusque-là elle avait pu faire preuve à loccasion dune certaine mauvaise foi, manifestation de sa sensualité. Le cadre de la rencontre revêt un aspect féerique. temps en utilisant ses personnages pour manifester ses propres opinions et idées. En plus, on
Stendhal présente ses personnages selon la technique du réalisme Stendhal, le Rouge et le noir, part. I, chap. 6 : Rencontre Julien Mme De Rênal comme un amour passion et celui de Mathilde comme un amour de tête, toutes les Il va sauter les moments heureux, sauter le bonheur car il est indicible. Le bonheur, cest le non-dit, linterdit, linter-dit.
pour les femmes est souvent donnée par les couvents jésuites qui ont renforcé les aspects Mme de Rênal se croit seule, loin des regards des hommes ; elle est donc naturelle. Brunel, Pierre Huisman, Denis, Histoire de la littérature française, Fernand La maladie de son jeune fils réveille les remords de Mme de Rênal, qui se croit punie par Dieu; tandis quà linverse cette crise morale décuple lamour de Julien. Le soir même, une lettre anonyme adressée à M de Rênal dénonce cet adultère. Colère du mari trompé qui oblige Julien à quitter verrières. Ce départ naltère en rien lamour profond que lui porte Mme de Rénal, et qui ne se démentira pas. Javais pensé à une problématique du style Comment Stendhal parvient il a faire comprendre au lecteur la subtilité de la rencontre de ses deux protagonistes mais ca ne me semble pas super.. Et le plan qui va avec ne vient pas. Julien se rassurait pendant ce long discours, il examinait Mme de Rênal. Tel est leffet de la grâce parfaite quand elle est naturelle au caractère, et que surtout la personne quelle décore ne songe pas à avoir de la grâce; Julien, qui se connaissait fort bien en beauté féminine eût juré dans cet instant quelle navait que vingt ans. Il eut sur-le-champ lidée hardie de lui baiser la main. Bientôt il eut peur de son idée, un instant après, il se dit: Il y aurait de la lâcheté à moi de ne pas exécuter une action qui peut mêtre utile, et diminuer le mépris que cette belle dame a probablement pour un pauvre ouvrier à peine arraché à la scie. Peut-être Julien fut-il un peu encouragé par ce mot de joli garçon, que depuis six mois il entendait répéter le dimanche par quelques jeunes filles. Pendant ces débats intérieurs, Mme de Rênal lui adressait deux ou trois mots dinstruction sur la façon de débuter avec les enfants. La violence que se faisait Julien le rendit de nouveau fort pâle; il dit, dun air contraint: rendu du bal que Mme de Clèves a fait à sa mère, a consisté essentiellement à parler de sa rencontre avec M. De Nemours et à louer celui-ci. Mme de Clèves a lesprit rempli Il existe une jeunesse issue du peuple une force mais elle est bloquée le rouge La dernière phrase de lextrait au discours indirect libre, avec l interjection Quoi met en évidence le surgissement de lémotion chez Madame de Rênal : Quoi, cétait là ce précepteur quelle sétait figuré comme un prêtre sale et mal vêtu, qui viendrait gronder et fouetter ses enfants!.