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Rencontre Cleves Nemours

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You have reached your viewing limit for this book. Bonjour, ce nest pas la première fois que je viens sur ce site et je le trouve super! Je suis en première ES et je vais passer mon BAC donc il me sert beaucoup! négative, et la duplicité même quil dénonce met en abyme ce Monologues, lettres, récits et conversations deviennent des maillons de la chaîne de sentiments qui forment la trame du roman. La princesse de Clèves se trouvait dans la situation dHenriette dAngleterre, qui naimait pas le duc dOrléans et qui est courtisée, en vain, par le compte de Grignan, dont le jeune frère, le chevalier de Grignan, tombe amoureux. Avait été la confidente dHenriette dAngleterre ; elle était lamie intime de la marquise de Sévigné, mère de Françoise. Après la mort de son mari, elle refuse dépouser Nemours : elle choisit son devoir et son repos. Madame de Lafayette accorde une grande importance à lHistoire dans ses récits, comme le montre par ailleurs la publication de La Princesse de Montpensier dès 1662. Dans La Princesse de Clèves, elle propose au lecteur du xvii e siècle un voyage dans le temps en lui ouvrant les portes de la cour dHenri II. Dès lincipit, elle nous plonge ainsi dans le xvi e siècle : La magnificence et la galanterie nont jamais paru en France avec tant déclat que dans les dernières années du règne de Henri second. Les premières pages du roman prennent lallure dun défilé de grandes figures de cette période historique, afin de montrer au lecteur que jamais cour na eu tant de belles personnes et dhommes admirablement bien faits. La dauphine offre en outre, dans la deuxième partie du roman, une véritable leçon dHistoire à M me de Clèves en évoquant le funeste destin dAnne Boleyn. Aujourdhui, on parlerait de coup de foudre pour les deux personnes. rencontre cleves nemours rencontre cleves nemours rencontre cleves nemours Elle passa tout le jour des fiançailles chez elle à se parer, pour se trouver le soir au bal et au festin royal qui se faisait au Louvre. Lorsquelle arriva, lon admira sa beauté et sa parure; le bal commença et, comme elle dansait avec M. De Guise, il se fit un assez grand bruit vers la porte de la salle, comme de quelquun qui entrait et à qui on faisait place. Mme de Clèves acheva de danser et, pendant quelle cherchait des yeux quelquun quelle avait dessein de prendre, le roi lui cria de prendre celui qui arrivait. Elle se tourna et vit un homme quelle crut dabord ne pouvoir être que M. De Nemours, qui passait par-dessus quelques sièges pour arriver où lon dansait. Ce prince était fait dune sorte quil était difficile de nêtre pas surprise de le voir quand on ne lavait jamais vu, surtout ce soir-là, où le soin quil avait pris de se parer augmentait encore lair brillant qui était dans sa personne; mais il était difficile aussi de voir Mme de Clèves pour la première fois sans avoir un grand étonnement. Étape 3 Relire le texte de façon analytique en utilisant Catel Muller et se sont partagées la partie graphique de cette belle romance. Ainsi, la seconde a illustré le roman en lui-même. Lautrice de Francis Blaireau farceur avec Jake Raynal nous charme par son dessin semi-réaliste. Bien documentés, les décors, les bâtiments et les costumes sont superbes sous ses pinceaux. Les contours épais de ses personnages se marient bien avec les couleurs de Marie-Anne Didierjean. Notez cette citation :-Note moyenne : 4.535 sur 498 votes Bonjour, merci pour vos commentaires composés mais il y a une faute dans le IA, vous avez écrit cher elle à se parer, cela ne devrait pas être chez elle à se parer? moyen dun billet que lui a donné le vidame, et où les noms des De Madame de Clèves avait ouï parler de ce prince à Je ne devine pas si bien que vous pensez. Le roman est situé en France, dans les années 1550, à la cour dHenri II, juste avant les guerres de religion, avant leffondrement dun monde et du lignage des Valois. La magnificence et la galanterie règnent au Louvre lorsquune jeune fille, riche, de très haute noblesse, orpheline de père, est entraînée à la cour par sa mère pour y être mariée. M lle de Chartres entre donc sur le marché matrimonial, guidée par M me de Chartres, sévère en morale, mais exigeante en matière dalliances. Le fils du prince de Nevers en tombe follement amoureux, mais ne saurait être un bon parti, tant les familles de Chartres et de Nevers sont opposées. Le prince de Guise, amoureux lui aussi, doit suivre son parcours de cadet en allant, comme chevalier de Malte, combattre les Maures. Quant au mariage avec le prince de Montpensier, il ne peut se faire. Si bien que la jeune fille et sa mère se retrouvent bien seules après ces trois échecs. La mort du duc de Nevers permet au jeune cadet, M. De Clèves, de laisser parler sa passion, denfreindre la règle politique et familiale, et dépouser M lle de Chartres. Passion dévorante pour lun, amitié et affection conjugales pour lautre, le mariage débute sur des bases fort dangereuses. Au début cest le regard de la narratrice qui isole le jeune homme comme on Au contraire, Mme de Clèves ne montre rien de ses sentiments. Le fait quelle lui fasse la révérence ne dévoile rien : cest une simple coutume, puisquil était dusage quune dame fasse la révérence à son cavalier avant de danser. Mais si son attitude et ses pensées ne laissent rien paraître de ses émotions, sa réponse à la Dauphine et sa réaction au même instant montrent quelle nest pas moins frappée par la foudre que M. De Nemours : un peu embarrassée montre que la Dauphine a touché juste, même si mêmesi Mme de Clèves nie avoir deviné lidentité de Nemours : Je vous assure,madame,.. Que je ne devine pas si bien que vous le pensez. Ses dénégations sont suscitées par la crainte quon ne suppose entre Nemours et elle une relation qui sortirait de la bienséance et des conventions, toutefois elle ne parvient pas à nier complètement, puisquelle nuance sa protestation avec si bien ; sans doute en raison de sa propension à la sincérité. Quoiquil en soit, sa crainte semble montrer quelle est éprise de Nemours, même si peut-être elle nen est pas tout à fait consciente. Sans quoi, ellenaurait pas protesté de la sorte. Navigation des articles Nous Princesses de Clèves, de Régis Sauder : relire autrement Madame de La Fayette.