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Au Zimbabwe Une Prostituée Peut Se Transformer En Âne

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Kabonesa, Consolata, 2002. Gender Relations and Womens Rights to Land in Uganda : A Study of Kabarole District, Western Uganda, East African Journal of Peace and Human Rights, vol. 8, n2 P. 227-249. Les approches postcoloniales des droits et de la loi sont multiples et défient toute classification simple. Elles ont toutefois une position commune : la critique des postulats philosophiques de base des Lumières la rationalité et la dichotomie objectivitésubjectivité. Le postcolonialisme rejette les concepts dobjectivité et de neutralité, ostensiblement présentés comme les caractéristiques centrales de la loi, en affirmant que la loi est toujours fondée sur des hypothèses et sur un point de vue. Plus spécifiquement, lanalyse postcoloniale fait valoir que la loi se fonde sur des inclusions et des exclusions invariablement déterminées à partir dune position définie par la loi de la majorité Kapur, 2005. Ce point de vue repose en partie sur le vécu historique des personnes colonisées face à la loi, la souveraineté du sous-continent asia-tique ayant été niée au nom du projet impérial et cette exclusion ayant été justifiée sous prétexte que le sujet colonial était si différent au plan culturel et social quil navait pas droit à la souveraineté ou à des droits. La différence a servi de motif pour nier des droits ; ce nétait pas un argument opposé à la notion de droits universels mais un élément inhérent au projet universel. Les droits ne pouvaient être conférés quaux sujets ayant atteint une certaine maturité civilisationnelle, et le dirigeant colonial était le mieux placé pour déterminer quand ce stade était atteint Sinha, 2000 ; Mehta, 1999. au zimbabwe une prostituée peut se transformer en âne au zimbabwe une prostituée peut se transformer en âne Las Vegas po u r se laisser mourir à petit feu.. Elles ont débuté déjà, en fait. Lon sait que le duo socialiste Magnette-Rousseau bouclera ses consultations la semaine prochaine et produirait un rapport informel qui établira les priorités partagées, selon eux, par les partis, les lignes de convergence et de divergence. Il faudra alors enclencher la vitesse supérieure. au zimbabwe une prostituée peut se transformer en âne Au final, les relations économico-sexuelles hors mariage, quelles soient préconjugales ou extraconjugales, ne constituent pas pour les femmes une alternative au mariage. Et même les relations extraconjugales semblent plutôt constituer une intégration au système quune transgression p. 68, du coup dans de nombreuses sociétés où ces relations sont organisées socialement. Il y a ainsi une organisation sociale duale de la sexualité : Il y a dans ces sociétés un contingent de femmes engagées dans des rapports économico-sexuels qui les extraient de façon momentanée ou permanente du mariage et en particulier de la structure de la division sexuelle du travail et de la reproduction qui sactualisent dans le mariage. On pourrait même y voir une forme de division sociale du travail spécifique et interne à la classe sociale des femmes. La mondialisation montre dailleurs bien la continuation et lextension de cette division du travail spécifique à la classe des femmes, avec les énormes migrations de femmes vers les pays industrialisés où elles travaillent essentiellement dans les secteurs du travail domestique, de lassistance aux infirmes et aux vieux, et dans le travail du sexe p 69. Kiiza, Enid, Winifred Rwe-Beyanga et Agnes Kamya, 2000. Accounting for Gender : Improving Ugandan Credit Policies, Processes and Programs, in D. Tsikata et J. Kerr dir, Demanding Dignity : Women Confronting Economic Reforms in Africa, Ottawa, Institut Nord-SudAccra, Third World Network-Africa. Birgin, H. Et L C. Pautassi, 2001. Género en la reforma o reforma sin género? Desprotección social en las leyes provisionales de América Latina, Santiago du Chili, CEPALECLAC. Sentendre po u r laisser c e s deux perso nn e s mourir d i gnement et.. their spirits trembled before that voice of justice. Shaheed et al Dir. Shaping Womens Lives : Laws, Practices and Strategies in Pakistan. 1998, Lahore et Karachi, Pakistan, Shirkat Gah. Cornwall, A, 2000. Making a Difference? Gender and Participatory development, IDS Discussion Paper 378. Les cookies sont utiles car ils enregistrent lhistorique de votre activité sur notre page web. Ainsi, lorsque vous revenez sur la page, celle-ci vous identifie et configure son contenu sur la base de vos habitudes de navigation, votre identité et vos préférences. Of continuous prayer : Do n ot let th a t w ork die. 1 Le contexte politique et létat de la démocratie qui prévalent dans chacun des cadres analysés relèvent dune importance particulière. Le rôle que peut jouer la société civile dépend en grande partie de lespace démocratique disponible. Le système politique et la culture, les relations État-société et la place faite à la politique dans la société civile notamment par les organisations spécifiques de femmes représentent des facteurs significatifs façonnant lespace démocratique. Il est donc crucial de comprendre les choix stratégiques que font les organisations pour mieux promouvoir un ordre du jour de justice de genre et de citoyenneté. Un des sujets qui fâchent Madame Kim, ce sont les feuillets que des Nord-Coréens passés au Sud continuent à envoyer, notamment en les accrochant à des ballons, de lautre côté du 38e parallèle : Kim Jong-un y est décrit comme un despote imbécile faisant joujou avec des bombes atomiques. Jeudi dernier, elle avait publié un communiqué furieux : Ce qui compte, cest que ces rebuts humains qui nont pratiquement aucune valeur ont laudace dinsulter notre grand leader et de se mêler des questions nucléaires. Une colère efficace : le gouvernement de Séoul a réagi en envisageant de voter une loi sanctionnant lenvoi de ce type de message. 2Ce sont donc ces facteurs pris dans leur ensemble qui peuvent expliquer le peu dengouement des chercheurs Africains sur les questions de sexualité, manifesté par le nombre réduit de publications scientifiques. Cependant, si les Africains, dhier et daujourdhui se sont très peu interrogés sur les questions liées à leur sexualité, ce ne fut pas le cas pour les explorateurs missionnaires et pour les premiers anthropologues occidentaux, qui voyaient en ces nouveaux horizons primitifs, une évasion romantique hors de leur culture trop standardisée. En dautres termes, lunivers africain en général et les pratiques socio-sexuelles en particulier apparaissaient pour ces premiers anthropologues à la fois comme une trouvaille exotique, et une occasion de sortir de linsatisfaction que leur avait donné leur société occidentale. Ils se feront de ce fait, une vision alternative, des primitifs quils observent, oscillant entre une représentation des indigènes comme êtres naïfs les Bons Sauvages de Rousseau ou comme des êtres aux mœurs perverses. 21Dans la zone Sud Africaine lhomosexualité nétait pas une chose inhabituelle. Cest ainsi que lhomosexualité des Ovambos, un groupe parmi les Hottentots, était proverbiale. Les hommes efféminés qui subissaient les relations sexuelles anales passives étaient les ovashengi singulier eshengi. Chez les Hereros ou Ovahereros, lamoureux homosexuelle était désigné par le terme epanga et une amitié érotique est appelée oupanga avec pratiques homosexuelles ou lesbiennes. La pédérastie masculine avec pénétration anale était traduite par lexpression okutunduka vanena, littéralement monter les garçons, comme lon monte les taureaux. La masturbation solitaire est appelée okurikuatisa, okuripikapikisa et okutirahî. Lonanisme mutuel se traduit par okutjanda omuzu, okukara omuzu, okurareka mukuao, que ce soit dans des rapports sexuels entre mâles aussi bien que les rapports sexuels femmes. Quand un Hottentot voulait avoir des relations homosexuelles avec un autre individu, il lui présentait un gobelet plein deau en lui disant Sore gamsa are!, cest-à-dire : bois encore de leau de la douleur ou de lirritation ; ou sore-gamsa ure!, prends encore de leau de la douleur. Si lautre prenait le verre deau, cétait le signe de son approbation pour lacte sexuel à venir. Chez les Kaffirs, membres du groupe Ngoni encore appelé Xhosa, lonanisme solitaire est appelé gûi-gûisen, cest-à-dire littéralement rendre son corps pénis raide. La masturbation mutuelle est appelée ôa-huru ou huru. La tribadie est désignée par le terme goe-ugu.